Séance unique ( mais pas que en fait ) pour l’ achévement du Q project qui inervait d »ja l’ arbre de Vie
un magnifique doc : une histoire de lumière , pari osé , réussi ….
Reprise en DVD ( maigre bonus mais le film est une somme à voir et revoir
La science rejoint la spiritualité , le macrocosme , le microcosme ….
Michel Ciment, France Culture : « Il faudrait tout de même s’interroger sur une certaine désaffection aujourd’hui pour Terrence Malick. Aujourd’hui les gens s’en défient, alors qu’il est en train de faire quelque chose de très original, de reprendre au fond la prophétie d’Alexandre Astruc en 1947 ou 48, lorsqu’il parlait de caméra-stylo, c’est-à-dire que le film est écrit avec la caméra. Bien sûr il y a toujours un scénario mais les traces du scénario sont à peine visibles. C’est un cinéma où l’écriture c’est la caméra qui la fournit, et il faut saluer le travail de Lubezki, qui est un immense chef opérateur. Au fond Malick se permet de faire ce que beaucoup de grands cinéastes n’ont même pas osé faire (tout simplement parce qu’ils étaient conscients du marché) ; Antonioni, Kubrick, tous ces cinéastes de l’image et de la déambulation ont reculé devant le saut dans le vide de Malick. »